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Affichage des articles du 2021

'' Konbit pou chanjman '', Fondation Digicel fidèle à sa mission

Il n'y a pas l'ombre de doute qu'avec l'introduction du nouveau Coronavirus dans le monde, bien des changements sont obligés d'être opérés dans notre mode de vie. Surtout lorsqu'on s'est rendu compte à quel point il a frappé, de plein fouet des pays qui se disaient équipés sur le plan sanitaire tels que: la Chine, l'Italie, la France et les États-Unis d'Amérique. En quelque sorte, ce sont les explications apportées par les responsables de la Fondation Digicel qui se voyaient dans l'obligation, cette année encore, d'organiser la finale de la compétition baptisée "Konbit Pou Chanjman" en région c'est-à-dire, à travers les différents départements géographiques du pays.  Rappelons que la Fondation Digicel allait être lancée officiellement le 7 mars de l'année 2007. Plutard, en 2017, à l'occasion de ses 10 ans d'existence, elle avait décidé d'octroyer un financement de 10 milles dollars US à 10 organisations à travers

Richard J. Arens, le célèbre réalisateur haïtien scrute le marché international

Richard   Richard Joseph Arens, né le 20 septembre 1975 à Port-au-Prince a hérité d'un amour fou pour le cinéma, de sa mère qui est décédée lorsqu'il avait onze ans. Cet héritage l'a guidé et aujourd'hui, il est l'un des meilleurs représentants du Cinéma haïtien.  Vous vous souvenez de ''Alelouya'', de ''Chomeco'', de ''Show Kola'', de ''My name is'' ou de ''Haiti Cherie wind of hope'' ? Tous sont les réalisations de Richard Joseph Arens dans le pays, avant qu'il s'envole pour les États-Unis au printemps 2007.  Étant en terre étrangère, il ne cesse de chômer et a intégré le New-York Film Academy pour compléter sa connaissance cinématographique. Comme projet de sortie, il a écrit, produit et réalisé un film de 67 minutes, "Chantage", un Drame-comédie tourné à New-Jersey. Ce long métrage devait être présenté au grand public l’été 2019 mais a dû être différé à cause de la

Un nouveau ?

Une année 2020 horrible s'en va pour faire place à une autre. Plusieurs souhaitent que cette nouvelle année soit moins malheureuse et douloureuse que la précédente. Surtout ici, en Haïti, où tout est parti en vrille. Mais, 2021 sera-t-elle moins malheureuse comme on le souhaite? Les yeux de tous sont braqués sur cette année, notamment sur des dates importantes comme le 7 février. Notons que le pays continue, sans forcer, sa descente aux enfers, les mauvaises pratiques du passé sont plus présentes que jamais. L'insécurité, constatée en 2020, bat son plein et ceci malgré les opérations policières pour ''déloger les bandits''. À croire que ces opérations donnent des résultats mitigés et que les ''hors-la-loi'' continuent leur sale boulot. Par ailleurs, la gourde qui plonge face au dollar américain inquiète.  Et, certains haïtiens attendent une amélioration de la situation du pays après l'investiture de Joe Biden comme président des États-Unis d&